jeudi 11 mars 2010


Hier soir (Enfin! Plutôt cette nuit!) au détour d'une pensée...

Il est des maux qu'aucun remède ne peut soigner.
Le mien condamne mon corps à un supplice interminable. Il se propage sur des zones pures et m'emprisonne avec un malin plaisir, à une torture. Celle-ci aurait pu être douce s'il ne m'obligeait à faire ce que je dois faire.
Je connais sa provenance. Je ne sais pas comment m'en sortir.
A force d'y réfléchir, cela a-t-il comme conséquence d'en être que plus important, et donc présent?
Ce mal me ronge intérieurement mais aussi extérieurement. 
Il est physique et donc visible.
Chez certains, il se manifeste par une boulimie, par des malaises, des crises de toute sorte. Une envie de changer.
Bien heureusement, une manne d'amis les entourent pour estomper cette douleur.
On se blinde alors l'esprit d'autres choses qui sont, pour nous, agréables: livres qui nous évadent, activités qui nous transportent, rencontres qui nous projettent. Des rires, des découvertes, des joies.
Tout ceci n'est qu'un masque pour ne pas refléter ce que nous sommes réellement.

***

Paye ton texte super enthousiaste.
Désolée de vous mettre / Le moral dans les chaussettes

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